COSMETIC ROACH

Ce travail utilise les cafards comme des cosmétiques. Les pattes de la cafarde frétillent sous l'effet d'une stimulation électrique.

Ce travail est une tentative d'utiliser les cafards comme cosmétiques en les attachant au visage.

Des électrodes sont insérées dans la cafarde, et lorsqu'on lui donne une stimulation électrique, ses innombrables pattes frétillent.

Les plumes de paon amplifient le mouvement de la cafarde et lui donnent un aspect mystérieux et aérien. En créant cette œuvre, il a essayé de créer un art sans dimension critique.

Les œuvres qui font écho ou sont mises en situation au sein de la société ont une portée critique sociale qui leur est propre.

Si c'est le cas, pourquoi ne pas créer un art dédié à l'univers, qui n'a aucun contact avec la société et dans lequel les êtres humains n'existent pas, qui ne serait pas socialement critique ?

Cette œuvre n'est pas dédiée à l'humanité, mais aux formes de vie qui peuvent exister dans l’univers.

This work uses cockroaches as cosmetics. The legs of the cockroach wriggle with electrical stimulation.

This work is an attempt to use cockroaches as cosmetics by attaching them to the face.

Electrodes are inserted into the cockroach, and when electrical stimulation is given to it, its countless legs wriggle.

The peacock feathers make the movement of the cockroach appear larger and give it a mysterious, space-like appearance.

By creating this work, he tried to create art that does not have a social critical.

Work that has contact with society has a social critical of its own.

If that is the case, why not create art dedicated to the universe, which has no contact with society and in which human beings do not exist, which would not be socially critical?

This work is not dedicated to humanity, but to the life forms that may exist in the universe.